Pourquoi vous devez prendre PLUS DE RISQUES

Transcription de la vidéo

Salut les entrepreneurs. Ici Aurélien Amacker, l’auteur du livre « Je gagne ma vie avec mon blog ».

Dans cette vidéo, je vais vous expliquer pourquoi vous devriez un petit peu prendre plus de risques.

Je vous explique.

Je pense qu’on vit dans une société où on a une espèce d’aversion aux risques.

Vos parents vous disent « Mon fils, suis des études, aie un diplôme et ensuite tu auras un bon boulot dans une entreprise », etc.

Et ça, c’est un modèle qui, depuis le début des années 2000 a littéralement volé en éclats, depuis les années 80-90, depuis la situation de chômage de masse est stable, puisque ça fait peut-être 30 ans qu’on a 10 % de chômage en France. –

C’est un modèle qui a volé en éclats et le problème c’est que dans notre société il y a vraiment une aversion aux risques.

J’ai toujours cet exemple où il y a quelques années avec un copain on voulait aller courir dans un stade municipal et il y avait le gardien qui était là, on lui dit « Est-ce qu’on peut faire des tours de stade ? », il nous a dit « Non, il y a un risque. S’il vous arrive quelque chose, si vous faites une crise cardiaque, je ne suis pas assuré ».

Je me suis dit « Attends, mais c’est bon, si je meurs je ne vais pas te poursuivre en justice et ma mère non plus. Pas de souci ».

Et puis surtout, ça veut dire quoi ? On paye des impôts pour construire des trucs qu’on ne peut pas utiliser et on paye des gens pour s’assurer, enfin, on marche sur la tête.

Mais aujourd’hui c’est comme ça, il y a des tonnes de législations, on sait très bien en France que tout ce qui concerne le travail, l’hygiène, etc., on a des tonnes de règles dans tous les sens.

Bref, voilà, ce n’est pas forcément idéal.

Mais du coup, ça créé une culture où tout le monde est un petit peu tétanisé par le risque et moi je vais vous donner différents exemples, qui m’ont permis dans ma vie, qui m’ont permis de changer de vie, où j’ai pris des risques.

Alors des risques on doit toujours en prendre plus ou moins à différents niveaux, mais ça ce sont des décisions qui ont fondamentalement changé ma vie.

Je suis arrivé en Australie en 2007, j’avais un visa vacances-travail, c’est un visa qui vous permet, je crois que c’est pour les moins de 31 ou 32 ans, qui vous permet de voyager et de travailler comme vous voulez pendant un an.

C’est super, il y a plein de Français qui partent avec ce visa.

Le truc c’est que j’ai fait un petit boulot, j’ai vu que ça marchait bien et je me suis dit le même jour, le premier jour où j’ai essayé, puisqu’à cette époque-là j’avais un petit peu le rêve de créer mon entreprise, je me suis dit « Je vais faire la même chose ».

Et le premier soir où je suis rentré à mon auberge de jeunesse, je me suis connecté sur Internet, j’ai commencé à chercher des fournisseurs et deux mois plus tard j’ai commencé mon business.

Et en fait, pendant ces deux mois, je peux vous dire que j’ai vraiment le souvenir, très souvent le matin je me réveillais angoissé à mort.

Je me disais « Regarde, tu as 15 000 euros », j’avais 15 000 euros d’économie à cette époque-là, « Tu as 15 000 euros, tu vas tout claquer, tu vas rentrer en France une main devant, une main derrière et tu auras perdu toutes tes économies et tu seras un bel idiot ».

Et c’est marrant parce que tous les matins j’avais cette angoisse, je me réveillais et tous les matins j’avais le même cheminement psychologique, le même raisonnement.

Je me disais « OK, d’accord. Effectivement, ça peut arriver. Je peux rentrer en France une main devant, une main derrière. J’aurai l’air d’une andouille parce que j’ai rêvé que je voulais créer mon business et je me suis planté ».

Et je me disais « Et alors ? Eh bien, ça me fera une super histoire à raconter à la machine à café. Je suis parti à l’autre bout du monde, je suis parti en Australie, j’ai créé un business et ça n’a pas marché. Mais c’était cool, je me suis éclaté, c’est génial, c’est un souvenir que j’aurai toute ma vie. Et alors ? J’aurais appris des choses. J’aurais essayé, j’aurais eu une histoire, j’aurais un truc que j’aurais pour toujours pour moi. Et il faut que je le fasse, il faut que je le tente ».

Et ça a cartonné, j’ai gagné beaucoup d’argent, j’en ai déjà parlé, enfin, à mon échelle. À l’époque c’était vraiment super.

Donc, ça m’a permis, le fait de prendre ce risque, de prendre en confiance.

Je suis rentré en France en 2009. Pendant un an j’ai cherché un petit peu quel business je pourrais faire et à cette époque-là, début 2010 j’ai rencontré des blogueurs amateurs qui gagnaient entre 500 et 1 000 euros par mois avec leurs blogs.

Et je me suis dit « C’est ça que je vais essayer de faire ».

Et à cette époque-là, j’ai refusé un travail bien payé, j’ai eu une proposition, puisqu’en même temps j’ai commencé à me décourager, j’avais cherché du boulot, etc., j’ai eu une proposition ferme pour un travail à 50 000 euros brut par an, c’est plutôt pas mal comme salaire.

La DRH m’a appelé le soir, elle m’a dit « C’est bon, j’ai obtenu tout ce que vous voulez de la part des boss. Vous avez 45+5 AE sur objectifs », et je lui ai dit « Je suis désolé. J’ai changé de projet, j’ai un projet personnel », alors je ne lui ai pas dit que je voulais gagner ma vie avec mon blog parce que je pense qu’elle aurait rigolé et puis de toute façon c’était difficile à dire, c’était une décision difficile à dire déjà parce qu’on s’était engagé, elle avait passé pas mal de temps, là juste à la fin je me rétractais, donc c’était déjà assez difficile.

Et grosso modo, je me suis lancé dans mon business, j’ai commencé à gagner, le premier mois, alors je me souviens toujours, j’ai gagné 82 euros ; le deuxième mois je crois que j’ai gagné 130 euros, etc., avec la publicité et l’affiliation au bout de 6 mois j’ai gagné 1 000 euros.

En fait, le truc c’est qu’à cette époque-là j’avais identifié, ça je le raconte dans mon livre « Je gagne ma vie avec mon blog », j’avais identifié une personne qui avait fait une prestation pour une autre personne, pour un autre blogueur, ils avaient fait un lancement et ça avait cartonné et je me suis dit « Je vais rentrer en contact avec lui et je vais voir s’il peut m’aider parce que lui il est vachement calé au niveau marketing ».

Donc, je suis rentré en contact avec lui, c’était Sébastien le Marketeur Français, j’en parle bien sûr dans mon livre, on a beaucoup bossé ensemble avec Seb.

Je me suis rapproché de lui, je lui ai dit « Je pourrais faire ton interview », on a fait une interview, juste après je lui ai dit « Je sais ce que tu as fait. Je sais que tu as été consultant sur le lancement d’Olivier Roland. Tu pourrais faire la même chose. J’aimerais bien faire la même chose avec toi », et il m’a dit « Voilà, écoute, je peux rendre service, pas de souci. Mais pour une prestation de lancement ça coûte cher », et en l’occurrence c’était le prix d’une voiture neuve, une petite voiture, une Clio, mais quand même avec déjà quelques options, ce n’était pas le modèle à 11 000 euros, je vous arrête tout de suite, plus un pourcentage.

Je lui ai dit « Il se trouve que j’ai gagné de l’argent en Australie, donc banco ».

En pratique, j’ai passé trois jours à y réfléchir et au bout de trois jours j’étais avec un copain, Nicolas Lombard, qui a créé une startup qui s’appelle Job Teaser, qui cartonne, très belle réussite.

En fait, j’ai dit « Ce mec-là je l’ai déjà rencontré. Je l’avais croisé une fois à Paris lors d’un évènement. Et il m’a fait super bonne impression ».

Je me suis dit « Ce gars-là est super intelligent ».

Il a aidé quelqu’un Olivier Roland, ils ont fait un lancement et ça a cartonné.

Et lui-même a créé un business dans la séduction, dans les années 2000, et il l’a amené à plus de 200 000 euros.

Donc, qu’est-ce que je peux lui demander de plus ?

La réponse c’est rien, j’ai toutes les preuves qu’il faut.

Et donc, c’est comme ça que j’ai signé et j’ai fait le plus gros chèque de ma vie.

On a signé ensemble, on a commencé à travailler ensemble et un an plus tard on a fait un lancement qui a totalisé 550 000 euros de vente en 2 semaines.

Alors, 2 semaines c’est le lancement, mais il y e eu un an de préparation avant.

Pour vous expliquer que quand je me suis mis dans cette situation-là, croyez-moi, je flippais, on peut parler franchement, mais plus vous prenez des risques le rendement est toujours corrélé par rapport aux risques.

Surtout quand on démarre, surtout quand on est jeune, surtout quand on n’a pas beaucoup d’argent, surtout quand on n’a pas beaucoup de ressources, on n’a pas grand-chose à perdre, donc ça veut dire qu’on peut prendre plus de risques, déjà on a moins de chance de perdre puisqu’en pratique on n’a pas grand-chose à perdre, on a beaucoup de temps devant soi, on n’a pas beaucoup d’argent à perdre.

Je pense qu’au départ, il vaut mieux prendre beaucoup de risques et je dis ça parce que moi j’ai tendance à dire aux gens qui achètent mes formations, il y a beaucoup de gens qui suivent mes formations pour créer un business et qui sont salariés, et je leur dis « Évidemment, ne quittez pas votre boulot pour vous lancer, ça vous met une pression ».

Mais récemment, j’ai réfléchi et je me suis dit « OK, les gens quittent leur boulot, et alors ? Ben, ça va, ce n’est pas la fin du monde. Même si ça ne marche pas, ils auront vécu une super aventure et ils auront tenté le tout pour le tout ».

Ce que je veux dire c’est que d’une part il y a ça, mais d’autre part il y a le fait que c’est une question d’engagement, c’est un truc que 99 % des gens ne comprennent pas. C’est une question d’engagement, c’est le principe de brûler ses bateaux.

Je vous explique. Récemment, j’ai arrêté de travailler avec mes affiliés, avant c’était cool, je fais un ou deux lancements par an, plusieurs centaines de milliers d’euros, etc., et pour plusieurs raisons j’ai arrêté de travailler avec mes affiliés, donc je me suis retrouvé tout seul, ça veut dire que pour gagner de l’argent sur internet je ne pouvais plus compter sur untel ou untel qui allait m’envoyer du trafic, je ne dépendais plus que de moi.

Et vous savez quoi ? Eh bien, ça m’a forcé à trouver des solutions.

J’ai testé pas mal de trucs. Aujourd’hui, j’ai trouvé un système qui cartonne, c’est-à-dire qu’aujourd’hui je suis en très bonne voie pour atteindre mon objectif qui est, pour vous parler très franchement, parce que vous savez que j’aime vous parler franchement, qui est de mettre de côté 200 000 euros par an, qui est net d’impôts.

Et là, je suis en très bonne voie d’atteindre cet objectif.

Je ne peux pas vous dire combien parce que ça dépend de plusieurs facteurs, je n’ai pas encore toutes les infos, mais grosso modo mon système marche vraiment très bien et si ça continue, dans quelques mois je vais atteindre mon objectif.

Donc je suis hyper content, je n’ai pas besoin de plus, je n’ai pas besoin de gagner des milliards.

Mais en attendant, je voulais vous partager un petit peu cette info, cette vidéo, je sais que ça va aider des gens, je sais qu’il y a des gens qui me suivent et qui se demandent s’ils devraient prendre des risques, etc.

Je pense que, si vous voulez, l’adversité ça vous pousse à trouver des solutions.

Quand vous êtes en galère, quand vous avez peu de ressources, c’est l’être humain, on a toujours cet instinct de survie, ça va vous pousser à faire des choses, à trouver des solutions, à essayer de nouvelles choses et c’est comme ça que vous allez pouvoir vous dépasser.

Il y a l’analogie de la cage dorée.

J’ai un copain qui est trader à la BNP Paribas à New York, il voudrait créer son business, il me dit qu’avec la finance il gagne bien sa vie, mais avec le coût de la vie à New York et la finance ce n’est plus ce que c’était, il aimerait bien créer un business mais il est dans une cage dorée, il gagne bien sa vie et donc ça ne l’incite pas forcément à se dépasser, à trouver des solutions.

Dans certains cas, c’est peut-être votre cas, ça peut être une bonne idée de la jouer franco et honnêtement créer un business, gagner son indépendance financière, vous le savez, ce n’est pas facile, ça ne tombe pas tout cuit dans la bouche, donc parfois prendre des mesures extrêmes, comme par exemple tout lâcher et prendre beaucoup de risques, et encore c’est limité puisqu’on a vu que si vous quittez votre boulot au pire vous pouvez en trouver un.

Donc, je pense que dans certains cas, prendre des risques, des mesures extrêmes, ça va vous donner également des résultats extrêmes, surtout si vous êtes jeunes, si vous débutez, je vous recommande de prendre un petit peu de risques, ce que la société vous dit exactement de ne pas faire.

J’ai un cadeau pour vous, j’ai mon dernier lancement qui a totalisé plus de 200 000 euros, c’est un petit peu le système que je vous ai expliqué, c’est un truc de fou.

Moi, je gagne ma vie sur internet depuis 2010, un truc comme ça je n’en ai pas vu depuis très longtemps.

Donc, j’ai préparé une formation en vidéo complète où je vous explique quel est le type d’offre que j’ai utilisé, vous allez voir que c’est complètement nouveau, comment j’ai fait le lancement sur ma liste email, vous allez voir comment j’écris mes emails, quel jour je les envoie, je vous explique tout, quels outils j’ai utilisé au niveau technique pour effectuer ce lancement.

Pour voir la formation tout de suite gratuitement, cliquez en dessous de cette vidéo et indiquez-moi à quelle adresse email je dois vous envoyer la formation.

À tout de suite.