Comment positiver et dire enfin OUI à son projet de vie !



Comment positiver dans un monde de plus en plus rapide, exigeant et difficile à comprendre ?

 

C’est le défi que vous propose de relever Christophe Labarde dans son livre « Je dis enfin OUI à mon projet de vie ».

Je l’ai croisé en coup de vent il y a 2 mois à Paris, il avait rendez-vous avec un de mes et amis et mentor pour parler de la sortie de son livre.

 

 Je dis enfin OUI a mon projet de vie - Christophe Labarde

Ca a piqué ma curiosité et du coup j’ai décidé de le lire et de vous faire profiter des meilleurs passages.

 

A l’arrivée: un livre très positif e sur le développement personnel et l’expérience d’un homme au parcours atypique qui est passé par la voie royale (HEC) pour ensuite visiter plus de 50 pays.

 

A propos du pessimisme ambiant en France

Extrait du livre: « Aujourd’hui les Etats-Unis, le Canada, l’Australie, la Chine ou le Brésil sont clairement des « YES countries » (des pays du OUI).

[…]

Aujourd’hui, hélas, la France est non seulement un « no country » mais probablement le leader des « no countries ». On commence souvent par se méfier de l’autre, que ce soit son voisin ou son collaborateur. On vérifie les diplômes avant de s’intéresser aux idées. On s’attarde sur les apparences et on néglige les potentiels. Le conservatisme y est idéalisé, l’innovation suspecte. Et le cynisme, le plus apprécié des spectacles. Résultat: la France est le pays des blocages en tous genres et du pessimisme à tous crins ».

 

Ca c’est fait !

 

Et l’auteur d’enfoncer le clou en citant une étude BVA:

  • En matière économique le monde est coupé en deux : d’un côté « les confiants », les pays émergents, de l’autre « les craintifs », les pays occidentaux. La crise est venue remettre en cause un modèle né à l’Ouest. Plus profondément, le vieux continent paraît bien avoir gommé le mot « prospérité » de son vocabulaire.
  • En France la sinistrose aiguë gagne du terrain : Notre enquête montre que les Français sont les plus pessimistes du monde sur la situation économique de 2011. Plus sombres sur leur situation personnelle à venir que…. les Irakiens, les Afghans ou les Pakistanais !

(source: http://www.bva.fr/fr/sondages/les_perspectives_economiques_2011.html)

 

Après, est-ce que les journaux télévisés (qui nous servent la crise matin midi et soir) sont la cause de ce
pessimisme ambiant ou est-ce que les journalistes sont eux-mêmes victimes de cette sinistrose ?

Je pense pour ma part que ce sont des phénomènes qui s’auto-alimentent.

 

En tout cas il est certain que c’est pénible à supporter.

 

Je suis actuellement en Colombie où la pauvreté n’a RIEN A VOIR avec celle qu’on peut
trouver en France et pourtant les colombiens sont des gens toujours positifs et souriants.

Aurélien Amacker Colombie

Un autre passage a également retenu mon attention, car il concerne
une petite révolution dont moi et d’autres blogueurs profitons: la vente d’information.

A propos de la vente d’information

Selon l’auteur: « Autrefois on payait pour en savoir un peu plus. Aujourd’hui on paye pour en savoir beaucoup moins. Et si possible beaucoup mieux ».

 

C’est la raison pour laquelle on peut vendre de l’information pour plusieurs centaines ou milliers d’euros quand cette information est virtuellement disponible gratuitement sur Internet ou dans des livres à quelques dizaines d’euros.

 

Les gens sont prêts à payer pour avoir accès à une information claire
et détaillée qui leur permet d’avancer rapidement dans leur vie.

 

En fait, comme l’explique Christophe Labarde dans la suite de son livre, dans notre univers ou nous sommes
bombardés d’informations et de sollicitations, le luxe c’est tout simplement la simplicité !

 

Prenez votre retraite à 30 ans

Tout au long du livre des témoignages viennent illustrer les idées.

 

Un en particulier a attiré mon attention: c’est l’histoire de quelqu’un qui était passionné de mécanique pendant son enfance.
A l’adolescence il avait commencé à construire un moteur de moto et ses parents le prédestinaient à faire des études techniques.
Mais un de ses professeurs l’a repéré et c’est comme ça qu’il a suivi une grande école d’ingénieurs pour devenir consultant pour des grandes entreprises.

A 28 ans il avait un bureau avec vue panoramique sur la Défense et il commençait à encadrer une équipe.

Bref, le symbole même de la réussite.

Et puis un évènement personnel a provoqué un déclic: il a tout laissé tomber pour retourner au soleil dans son Nice natal,
ouvrir un atelier de réparation de motos et profiter de sa famille au soleil. Et devenir enfin heureux.

 

C’est exactement ce que j’ai fait en commençant à travailler sur mon blog à temps plein en mars 2010: je connaissais un français qui avait tellement bien réussi qu’il avait pris sa retraite à 50 ans. Et qu’est-ce qu’il faisait de son temps ? Il avait un blog, et il aimait tellement bloguer que son blog lui rapportait de l’argent.

Plutôt que de passer 20 ans à faire un boulot qui ne me plaisait pas j’ai préféré « prendre ma retraite » à 30 ans en faisant tout de suite une activité qui me plaisait et que j’aurais fait si j’avais eu le moyen d’arrêter de travailler (j’écris ces lignes depuis une agence de voyages où j’ai trouvé une connexion dans une petite ville de Colombie). 

 

Votre projet de vie ?

L’auteur propose également de définir son projet de vie en quelques lignes.

C’est un exercice délicat car c’est une pression importante que de résumer ce qu’on veut faire de sa vie en quelques lignes.

 

Je pense que pour y arriver il ne faut pas se mettre la pression et se dire avec des mots simples ce qu’on a toujours voulu faire.

Dans mon cas ça fait des années que je me répète toujours que je veux être un aventurier et avoir une vie riche et épanouissante.

Comme « être un aventurier et avoir une vie riche et épanouissante » ce n’est pas très précis je vais préciser ma pensée:
je veux que quand je sois à la retraite je puisse écrire un livre sur ma vie et que ce livre puisse passionner les foules.

C’est ce que je fais depuis 5 ans, d’abord en partant vivre 2 ans en Australie, puis en créant
un business à mon retour en France qui me permette de voyager dans de nombreux pays.

Et vous, quel est votre projet de vie ?

 

Devenir heureux ?

Je suis arrivé en Colombie depuis quelques semaines et j’ai l’impression de ne m’être jamais senti aussi heureux.

A mon retour d’un voyage au Mexique qui m’avait enchanté fin 2006 je travaillais en cotard-cravate dans un bureau et je ne sais pas pourquoi mais j’avais cette vision où je me voyais bourlinguer en amérique du sud dans une vieille jeep.

Depuis j’ai appris l’espagnol, je suis parti vivre en Australie et ensuite j’ai pris des risques en créant un business sur Internet en partant de 0.

 

Aujourd’hui j’ai un travail qui me permet de voyager n’importe où, je fais un métier que j’adore et j’ai une petite amie ravissante.

Mais tout ça ce n’est pas de la chance. Ce sont des années à réfléchir à mon projet de vie et à prendre des risques.

Aurelien Amacker San Andres

J’ai lu des dizaines de livres sur le développement personnel, et celui de Christophe Labarde est excellent
pour vous aider, vous aussi, à dire enfin OUI à votre projet de vie.

 

Cliquez ici pour voir le livre « Je dis (enfin) OUI à mon projet de vie » de Christophe Labarde.

 

Est-ce que vous avez une idée bien définie de votre projet de vie ?

Répondez-moi en laissant un commentaire ci-dessous

PS: j’ai lu plusieurs livres sur le bonheur ces derniers temps et je pense que j’ai des choses intéressantes à partager avec vous sur ce blog.
On en reparle très vite 😉


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