Comment lancer un business à l’étranger et vivre une vie différente



Vous voulez partir au bout du monde et créer votre business ?

Je vous explique comment des personnes que j’ai rencontrées ont pris des risques et ont aujourd’hui une vie totalement différente !

Transcription écrite de la vidéo:

Dans cette vidéo, j’aimerais vous expliquer comment vous pouvez changer de vie et créer un business à l’autre bout du monde.

C’est une vidéo, ça fait des mois, voire des années que j’avais envie de la faire et j’avais envie de partager ça avec vous.

Moi, pour la petite histoire, j’ai démarré comme salarié, ingénieur à 24 ans à Paris.

J’ai commencé à apprendre l’anglais.

2 ans plus tard je suis parti en Australie, j’ai créé mon premier business en Australie, j’ai passé 2 ans là-bas, j’ai voyagé en Nouvelle-Zélande, au Japon, à Hong Kong, en Chine, j’en ai bien profité, je suis revenu en France et j’ai lancé mon business sur internet et il y a des gens qui me suivent depuis 2010.

C’est tout à fait possible de changer de vie, de créer un business à l’autre bout du monde.

Et ce que je voudrais partager avec vous c’est des individus que j’ai rencontrés, qui m’ont beaucoup marqué, qui m’ont impressionné.

En fait, quand je suis arrivé en Australie, j’étais dans un petit hôtel et un matin je suis allé, je crois que ça devait faire une semaine que j’étais là, j’avais du décalage horaire, je me suis levé très tôt et j’ai cherché un café et je suis tombé sur un café ouvert et il y avait un homme qui avait une cinquantaine d’années.

J’ai commencé à discuter avec lui et il m’a vraiment paru très sympathique, très cultivé, très intéressant.

Et on est devenu amis ; c’est quelqu’un qui était d’origine grecque, c’est-à-dire qu’en fait il est né en Grèce, il a dû naître dans les début des années 50 ; dans les années 70 il a rencontré, il était DJ en Grèce, il a rencontré une Australienne qui était en voyage, il l’a suivie, il est parti en Australie.

Il faut savoir que l’Australie, dans les années 70 tout était à faire, tout était à construire, et il a créé plusieurs business, notamment dans le domaine de la restauration, c’est un peu son truc.

Il m’a raconté des histoire parce que l’Australie a connu un développement économique assez impressionnant dans les années 70, jusqu’au années 2000 quand je suis arrivé, moi je suis arrivé en 2007, il a créé un magasin de poulet frit avec un associé.

Ça a cartonné, il faisait beaucoup d’argent, il a vendu ses parts et il m’a raconté que son associé a fait prospérer l’affaire, il a acheté je ne sais pas combien d’appartements, d’immeubles, etc.

Et lui après, il a travaillé, il a fait plusieurs fonctions.

Et c’est quelqu’un qui travaillait parce qu’il voulait s’occuper, mais il avait un patrimoine assez important.

Et en fait, il y a autre chose encore, c’est qu’en fait en devenant amis avec lui, il m’a expliqué un petit peu l’histoire de sa famille et notamment de son père.

Il faut savoir un truc c’est qu’en Australie vous avez énormément de gens d’origine grecque.

Je crois qu’il y a plus de grecques à Melbourne qu’à Athènes, il y a une statistique comme ça qui est assez impressionnant.

Pourquoi ? Parce qu’après la Seconde Guerre Mondiale, la Grèce était un pays très pauvre et les gens les plus motivés, les plus ambitieux partaient et ils allaient vers des cieux plus cléments.

Et j’ai découvert l’histoire de son père.

Il faut savoir un truc, c’est que son père dans les années 50 il est parti en Afrique du Sud et il a monté un élevage de poulets.

Je ne sais pas si vous vous rendez compte, mais dans les années 50, partir comme ça pour un pays, changer de vie, créer un business à l’autre bout du monde, à cette époque-là je ne sais même pas s’il y avait la télé, il n’y avait pas internet, ça c’est sûr, vous n’aviez pas les brochures en papier glacé, je pense qu’il a dû y aller en bateau, ça me paraît évident, en bateau ça devait être un mois, deux mois.

C’était vraiment l’aventure et il est parti en Afrique du Sud, il a monté un élevage de poulets, il a gagné pas mal d’argent.

Il a tout perdu puisqu’il y a eu une maladie, tous les poulets sont morts.

Je crois qu’il y a eu un épisode, et en fait j’ai rencontré son père, puisque mon ami m’a invité en Grèce, donc j’ai rencontré sa famille, on était sur l’île de Lesbos, son père qui avait plus de 90 ans, qui parlait un peu anglais, qui arrive à se faire comprendre, et c’était impressionnant, c’était quand même un vrai monsieur.

Et il a monté cet élevage de poulets, ils ont tout perdu, tous les poulets sont morts, enfin, je ne sais pas quoi.

Je crois qu’ils sont retournés en Grèce et ce qui s’est passé c’est qu’ils s sont rendus compte qu’ils n’avaient pas assez d’argent.

Donc, ils sont repartis en Afrique du Sud et là, je crois qu’il a monté un centre commercial.

Et je me souviens, il me racontait toujours, il me disait « I was putting 10,000 dollars a month, clean profit ».

Je ne sais pas combien de fois il m’a dit ça et il disait « Je mettais à la banque 10 000 dollars de profit clean, déclarés à la banque ».

Et ensuite, ils sont rentrés en Grèce, ils ont racheté plusieurs appartements, une maison.

Et puis, il s’occupait de ses poulets ; je crois qu’il passait l’hiver à Athènes, l’été sur l’île de Lesbos dans une petite maison très jolie où il s’occupait de ses poulets.

Et voilà, c’est pour vous expliquer qu’il y a des aventures comme ça.

Et je trouve que dans notre société on ne prend pas assez de risque, on a trop peur du risque.

Vous entendez les gens, ils vous disent « Ouais, j’ai peur. Je dois partir faire un voyage, aller je ne sais pas où ».

Aujourd’hui, pour aller à New York, vous montez dans un avion, vous descendez de l’avion, il s’est écoulé 6 heures, vous êtes à New York, vous avez traversé l’Atlantique.

Si vous voulez, aujourd’hui c’est pépère, tranquille.

Il y a des touristes partout où vous allez.

Et on voit beaucoup de gens qui vont en Thaïlande ; la Thaïlande c’est Disneyland, vous n’avez que des Américains et des jeunes Français qui vont tirer à la kalachnikov.

Essayez de sortir un petit peu des sentiers battus, essayez de prendre plus de risques, lancez votre business, partez dans des pays où il y a tout à faire.

La Thaïlande c’est pourri, c’est grillé, ça fait 40 ans que les Occidentaux vont là-bas.

Il y a la Birmanie qui s’est ouvert, il y a des républiques en Europe Centrale, il y a pas mal de gens qui vont au, je crois que c’est Kazakhstan, dans des pays comme ça.

Sortez un petit peu des sentiers battus, prenez des risques.

Au pire, qu’est-ce qui peut arriver ? Au pire, ça ne marche pas. Au pire, vous revenez. Au pire, vous retrouvez un boulot.

Donc, ce n’est pas la fin du monde.

Je vous recommande de prendre plus de risques, d’avoir ce petit grain de folie, il n’y a que comme ça que vous allez pouvoir faire des choses différentes, avoir une vie différente des gens.

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C’est gratuit.

À très bientôt.


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